La quatrième de
couverture évoquant l’exécution de chatons superflus donne une idée
dramatique de l’album, alors que c’est l’innocence, l’émerveillement,
l’imagination augmentant le réel qui dominent ces 80 pages.
Les couleurs ravissantes, le trait naïf, transcendent
l’ennui, la cruauté, les aspérités de la vie dans un village sans pittoresque,
permettant d’en faire un lieu commun à tous nos rêves d’enfants et à nos
indulgences adultes.
L'album a un joli graphisme. Il rejoint une tendance générale à vouloir.. idéaliser la vie champêtre, en construisant de toutes pièces un nouveau jardin d'Eden à la campagne.
RépondreSupprimerQuoi de neuf ? On peut comprendre ce qui pousserait Marie-Antoinette (et pas qu'elle...) à vouloir jouer à la bergère à Versailles. D'un côté.. la galerie des glaces, de l'autre, le petit Trianon. L'un... appelle l'autre ?
Nos vies sont dures ? Comment ça ?
Pourquoi avons-nous le sentiment... que nos vies sont dures ?...
Avec de l'eau courante, la sureté sur les routes, les assurances vie/voiture/habitation ? Le chauffage, et un toit au dessus de nos têtes, pour tous ceux qui lisent ce blog, je parie ?
Mais... d'où vient ce sentiment de la dureté de nos vies ?
J'ai mes idées sur la question...