En tapant « 6 mois » dans le petit moteur de
recherche qui va farfouiller dans les archives de ce blog, colonne de droite, vous
pourrez partager le plaisir de replonger dans une belle bibliothèque de
photographies fréquentée depuis un moment.
« Si vous vous
contentez de voir ce qui est évident, vous ne verrez rien. » Ruth
Bernhard.
Le dossier principal de cette livraison est consacré aux
animaux dans leur rapport aux hommes :
du business de la fourrure, caïmans en Colombie et visons en
Pologne,
à une pouponnière de pandas en Chine,
en passant par les gorilles en péril au Congo à cause des
trafics de charbon de bois et les guérillas.
Nous allons dans les tribus éthiopiennes à côté d’un barrage
qui va modifier leurs conditions de vie,
en Cisjordanie avec des femmes palestiniennes fécondées
in-vitro par leurs maris prisonniers,
en Tanzanie avec des albinos qui se mettent à l’abri du
soleil et des préjugés.
Ce sont aussi les migrants érythréens qui s’invitent chez
nous sous l’objectif d’un des leurs.
En Russie le long de la Volga de jeunes urbains retournent à
la campagne.
De beaux portraits de ceux qui travaillent les produits de
la pêche, à terre, au Guilvinec et d’amusants témoignages de la vie d’un papa
quand il reçoit à son tour ses enfants, éclairent l’atmosphère plus sombre des
photographies retrouvées de Berlin en avril 1945.
La photobiographie de Recep Tayyip Erdogan est intéressante à
parcourir pour mieux connaître cet acteur majeur qui avait été condamné à 4
mois de prison pour avoir récité un poème :
« les mosquées
sont nos casernes,
les minarets nos
baïonnettes,
les dômes nos casques
et les croyants nos
soldats »
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