L’écran s’élargit : au deuxième temps, le
mineur de fond ayant été licencié par celui qui lui a pris sa promise, a
retrouvé du travail ailleurs. Il revient au pays, malade, alors que son ancien
amour a divorcé d’avec le riche, parti en Australie avec leur petit nommé
Dollar.
Troisième épisode sur écran plus large encore: en
2025, devenu grand, Dollar doit carrément prendre un interprète pour dire à son
père bardé de révolvers, son désir de liberté.
Les trois tableaux décrivant de manière appuyée les
méfaits de l’argent, la perte des identités m’ont paru se corrompre au fur et à
mesure qu’on approchait d’une conclusion qui tardait, comme les personnages
devenus grotesques, sentencieux, réduits dans la séquence d’anticipation à
l’état de fantoches, comme on disait dans les années Mao qui ne donnaient guère
dans la nuance.
Ahhhh... tout s'explique...
RépondreSupprimerCe que je prenais pour de la caricature est en fait de l'allégorie ?
Ou inversement.
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