Le spectacle est total qui parle de la mort sous des airs de fanfare.
La danse est là, quand par exemple dans une ultime performance le désespéré à la brioche de bon vivant est porté par son partenaire.
La danse est là, quand par exemple dans une ultime performance le désespéré à la brioche de bon vivant est porté par son partenaire.
Le théâtre bien sûr en des langues diverses mais intelligibles tant
il va à l’essentiel.
La musique est des plus éclatantes avec tant de cuivres si
poignants aussi quand ils s’apaisent.
On disait « harmonie » municipale le plus souvent
pour ces formations, telles l’ensemble musical de Villard-Bonnot intégré à la
fête qui a joué Verdi, Malher, Schubert devant une paire de majorettes, dont le
rapport à l’adolescence est celui des grands-mères encore bien vertes dans leurs habits dorés.
Un des joueurs de trombone doit désormais jouer des cymbales depuis son cancer à la bouche.
Il lui faut apprendre à « quitter la table ».
Un des joueurs de trombone doit désormais jouer des cymbales depuis son cancer à la bouche.
Il lui faut apprendre à « quitter la table ».
La fragilité de la vie, les solitudes, « En avant
marche » comme on dit « haut les cœurs »
Il y a de la déraison belge, du sentimentalisme, chez le
metteur en scène dont nous venions de
voir un « coup fatal »
et plus loin en arrière « For Pina »
Bien sûr que nos impatiences excités par tous les zapages
peuvent se calmer au théâtre, mais
l’intensité autour d’un sujet ambitieux a tendance à
se diluer quelque peu en une heure quarante.
Guy, c'est quoi, ce spectacle ? C'est où ? Je n'arrive pas bien à comprendre de quoi il s'agit, mais probablement parce que je suis de plus en plus... déconnectée..
RépondreSupprimerMC2: musique de fanfare, danse et un peu de théâtre.
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