Avec une telle promesse dans le titre et arriver à « mais honnêtement, tu ne sais pas trop
ce qu’il faudrait faire pour arriver à s’en sortir alors que tout semble
empirer, aller de plus en plus mal. » : la déception est au
rendez-vous du comptoir du commerce.
Bien sûr il y a l’honnêteté du chroniqueur et de l’écrivain
que j’apprécie
http://blog-de-guy.blogspot.fr/2013/06/tout-ce-qui-reste-de-nos-vies-alain.html
mais j’attendais plus de souffle, d’originalité chez celui qui fut à Télérama, aux Nouvelles Littéraires, à Marianne, journaux qu’il quitta à chaque fois pour ne garder que son billet à La Croix.
mais j’attendais plus de souffle, d’originalité chez celui qui fut à Télérama, aux Nouvelles Littéraires, à Marianne, journaux qu’il quitta à chaque fois pour ne garder que son billet à La Croix.
Souvenirs de soixante huitard, de la deuxième gauche :
il y a de quoi partager, bien que n’ayant pas « fait le séminaire »,
ni rencontré Bob Dylan.
Mais la rédemption de Mitterrand, parce qu’il parle de
cinéma lors d’un de ses ultimes discours, me semble un peu facile.
Et même si le tutoiement qui court tout au long des 185
pages faciles, trop faciles à lire, n’ajoute pas à la connivence ; que
nous étions candides !
« Tu le voyais
comment ce monde meilleur, ce monde parfait ? La paix, l'amour, la fraternité,
tous frères, tous unis dans le refus de la haine, de la violence, dans le
respect des droits. »
Il n’en devient pas cynique comme tant de baby boomer que
nous fûmes, mais sans guère d’illusions : les rêves sont tombés par terre
c’est la faute à …
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