Le milieu de la pub est croqué lestement mais les dilemmes
des femmes rondes sont seulement effleurés. Il s’agit bien sûr de corps
boudinés et si peu de cœur. Le pauvre jeu de mots n’est pas illustré : les
récits ne sont guère sentimentaux ni tendres, c’est l’époque !
Il convient d’être léger, si bien qu’il ne s’agit que de
plis en surface.
«Les fleuves
et la mer inonderaient en vain
Ce sanctuaire étroit qui la tint enfermée :
Il garde en se brisant son arôme divin,
Et sa poussière heureuse en reste parfumée.
Puisque par la blessure ouverte de mon cœur
Tu t’écoules de même, ô céleste liqueur,
Ce sanctuaire étroit qui la tint enfermée :
Il garde en se brisant son arôme divin,
Et sa poussière heureuse en reste parfumée.
Puisque par la blessure ouverte de mon cœur
Tu t’écoules de même, ô céleste liqueur,
- Wearrh ! »
L’une d’elle lit du
Leconte de Lisle à celui qu’elle poursuit de ses assiduités, tout en le
branlant avec un gant de vaisselle à l’hôpital où il est immobilisé.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire