 Nous courons  tellement les spectacles, les expositions, les exposés, les films, et puis parfois une rencontre rare où l’essentiel saute aux yeux. Pina Bausch m’a fait sortir de mes préventions concernant la danse où je ne savais voir que chichis et tutus. Avec  ses danseuses pieds nus, j’ai approché ce qui peut se dire  du plus profond de  nos vies. La maladresse  qui m’était tellement familière rencontrait la grâce, la douleur, une beauté fulgurante en rythmes obsédants, répétitifs, envoutants. L’engagement de sa troupe, la violence des solitudes exposées, des musiques sombres sublimées,  m’ont donné accès à un univers où les mots peuvent s’effacer pour crier l’indicible douleur de survivre. Il n’y aura plus de prochaine promesse de rendez-vous.
Nous courons  tellement les spectacles, les expositions, les exposés, les films, et puis parfois une rencontre rare où l’essentiel saute aux yeux. Pina Bausch m’a fait sortir de mes préventions concernant la danse où je ne savais voir que chichis et tutus. Avec  ses danseuses pieds nus, j’ai approché ce qui peut se dire  du plus profond de  nos vies. La maladresse  qui m’était tellement familière rencontrait la grâce, la douleur, une beauté fulgurante en rythmes obsédants, répétitifs, envoutants. L’engagement de sa troupe, la violence des solitudes exposées, des musiques sombres sublimées,  m’ont donné accès à un univers où les mots peuvent s’effacer pour crier l’indicible douleur de survivre. Il n’y aura plus de prochaine promesse de rendez-vous.
dimanche 5 juillet 2009
Pina Bausch
 Nous courons  tellement les spectacles, les expositions, les exposés, les films, et puis parfois une rencontre rare où l’essentiel saute aux yeux. Pina Bausch m’a fait sortir de mes préventions concernant la danse où je ne savais voir que chichis et tutus. Avec  ses danseuses pieds nus, j’ai approché ce qui peut se dire  du plus profond de  nos vies. La maladresse  qui m’était tellement familière rencontrait la grâce, la douleur, une beauté fulgurante en rythmes obsédants, répétitifs, envoutants. L’engagement de sa troupe, la violence des solitudes exposées, des musiques sombres sublimées,  m’ont donné accès à un univers où les mots peuvent s’effacer pour crier l’indicible douleur de survivre. Il n’y aura plus de prochaine promesse de rendez-vous.
Nous courons  tellement les spectacles, les expositions, les exposés, les films, et puis parfois une rencontre rare où l’essentiel saute aux yeux. Pina Bausch m’a fait sortir de mes préventions concernant la danse où je ne savais voir que chichis et tutus. Avec  ses danseuses pieds nus, j’ai approché ce qui peut se dire  du plus profond de  nos vies. La maladresse  qui m’était tellement familière rencontrait la grâce, la douleur, une beauté fulgurante en rythmes obsédants, répétitifs, envoutants. L’engagement de sa troupe, la violence des solitudes exposées, des musiques sombres sublimées,  m’ont donné accès à un univers où les mots peuvent s’effacer pour crier l’indicible douleur de survivre. Il n’y aura plus de prochaine promesse de rendez-vous.
 
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