Sur fond musical de raï, la misère des squats et des ventes
à la sauvette s’estompe au soleil grâce à la fraternité entre magrébins en
quête d’une « Miss Visa ».
Le destin romanesque du personnage
principal permet d’explorer la complexité des situations des déracinés
cherchant d’autres terreaux avec en prime une silhouette de policier atypique
qui apporte quelques couleurs à un récit mouvementé de près de deux heures.
Les
déchirures ne s’effacent pas derrière un
sourire, mais la dignité face à l’adversité gagne les cœurs.
Ça a l'air bien, merci. Et oui... "la complexité des situations des déracinés", l'expression prend un autre sens quand on comprend que les maisons "familiales" en France se vendent/sont vendues... Affaire à suivre.
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