La première page trop symboliste, trop explicite, à mon
goût, ne reflète pas la subtilité de cette histoire de fantômes placée à juste
titre derrière une phrase de Stephen King :
« Les monstres
sont réels, les fantômes aussi, ils vivent à l'intérieur de nous.
Et parfois... ils
gagnent. »
Des articles de journaux placés au début et en fin d’album éclaircissent le
récit qui n’en est que plus mystérieux autour de « la route la plus hantée
des Etats-Unis ».
Les aquarelles et des traits secs rendent ambiguë la réalité
et très présents les délires.
Dans cette sombre histoire sous la neige, les phares de
voiture éblouissent : l’hiver est menaçant, le deuil d’un père pas résolu.
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