Quatre séquences variées pour deux heures de spectacle
donnent une belle image de la création chorégraphique brésilienne.
La troupe exprime aussi bien les airs suaves des chansons de
là bas que les rythmes entêtants avec un professionnalisme qui n’étouffe pas le
plaisir des surprises de chaque instant.
Costumes, lumières, beauté des corps,
précision, harmonie des groupes : tout est impeccable. Bossa Nova, Samba traditionnelles vont bien
avec des trouvailles contemporaines, enrichissant avec fluidité liberté et
superbe technique.
Je n’ai pas forcément
perçu les références à « La ronde » d’Arthur Schnitzer ni compris
« cela ne devrait être que vous » mentionnés sur la feuille de
salle, mais dans des langues de lumière pouvaient se saisir ici la langueur des
danses de salon et là l’énergie du désir.
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