« Mr Bojangles » est le titre favori d’un couple
d’amoureux qui passe son temps à danser sur la musique de la chanson de Nina
Simone.
On ne sait comment ce couple amoureux peut voyager vers
autant de lieux de carte postale, avec des dépenses en alcool sûrement élevées
même en dehors de leurs fréquentes fêtes.
Camille et Georges sont irresponsables, retirant leur enfant
Gary de l’école après des retards répétés. Le papa écrivain « n’a pas
entendu le jour se lever », elle brûle le courrier qui s’est accumulé et
brutalise l’agent des impôts venant réclamer leur dû à la collectivité.
Gary le petit garçon veut être « chasseur de
mouche au harpon ».
Cette poésie de pacotille où l’on croise une grue appelée
« Mademoiselle Superfétatoire » et un
sénateur, « l’Ordure », ne change pas ses charmantes couleurs
quand le petit cercle familial se brise. La belle maman dont la perte de la
raison a pu paraître romantique doit être hospitalisée, le père abandonnant à son tour le petit
garçon spectateur de l’amour fou de ses parents.
Pauvre gosse!
Je ne sais pas avec tout ça. Ce que je vois, c'est à quel point on a augmenté les exigences de la responsabilité... individuelle dans un contexte où l'Homme n'a jamais été plus irresponsable, il me semble. Maintenant il faut faire soi-même toutes les démarches en étant son propre comptable ? inspecteur des impôts, mais dans un contexte où la complexité devient cauchemardesque, et où... les informations sont loin d'être fiables. (mais.. ont-elles jamais été fiables ? Quand je songe à l'époque très lointaine où je pouvais récolter des informations importantes très différentes de la bouche de différents employés de la Préfecture, et bien... je suis très pessimiste.)
RépondreSupprimerDe plus en plus on vit dans un monde de cas... particuliers qui ne sont pas prévus sur les imprimés qui ne le sont pas.
Navrant.
Rien de nouveau sur la Terre je suppose. On devait déjà le voir sous l'Empire romaine, et à l'époque, ça a du déjà mettre... beaucoup de tension chez les citoyens, et non citoyens.
Décidément, quand l'Homme décide qu'il est bon de gérer l'Homme, rien de bien en advient.