« Le chien le plus bête de l’Ouest », tient le
premier rôle dans une histoire traitant d’un sujet dans l’air du temps :
« le bien être animal » après celui du racisme.
Au pays de cow-boys, les veaux étaient marqués au fer rouge,
le bison devait courir vite et les trappeurs vendaient la peau de l’ours et celle du castor.
Il faut toute l’habileté et le sens de la justice affirmé du
maître de Jolly Jumper pour sauver de la pendaison un homme qui avait libéré un
cheval battu.
Celui-ci représente Henry Bergh créateur de la première Société
Protectrice des Animaux (1866) financé par un milliardaire français repenti
d’avoir fait fortune dans le commerce des fourrures.
Cette
cent vingt-quatrième histoire de la série est plaisante avec renvoi dos à dos
des accrocs irréductibles du steak et des végétariens intégristes.
Tous les
protagonistes habituels sont là avec quelques desperados nouveaux Sam Tofu ou
Carott Kid et inévitablement un « cobaye solitaire ».
Hier j'ai passé un moment à lire les nouvelles sur l'évolution de la folie Covid parmi nos dirigeants, nos concitoyens, etc. Il y avait un article d'un journaliste américain très documenté où j'ai relevé un nombre inquantifiable de fois l'expression "HERD immunity". Je ne sais pas si cette expression a traversé l'Atlantique, ou comment il a été traduit pour ceux qui s'affairent encore à vouloir traduire les expressions d'outre Atlantique. En tout cas, le mot "herd" se réfère à un amas d'animaux herbivores, généralement. Des... NON PREDATEURS. Des animaux qui ne tuent pas pour manger. Je dis bien "amas" pour ne pas dire "masse". On pourrait dire "troupeau". Pour les vaches, les bovidés, etc. Mais... on ne dit pas "a herd" pour les ours, les pumas, même les orang-outans, parce que ces animaux ne s'agglutinent pas dans des.... masses.
RépondreSupprimerJe trouve cela instructif. Tout compte fait, même si je mange ENORMEMENT de fruits et de légumes, je ne fais pas partie d'un "herd", et je ne le voudrais pas. Je fuis mon... pas si semblable que ça en grandes... quantités.
Il m'arrive de tuer. Pas des hommes, ou des femmes, ou des enfants, mais j'écrase sans ciller des fourmis et autres nuisibles.
C'est dommage que nous soyons devenus si... charognards avec le "progrès" industriel, et les abattoirs où nous déléguons à d'autres le prix de notre désir de manger saignant. Très dommage. Je n'aime pas trop les charognards...peut-être que cela n'agrandit pas l'âme de son animal d'être charognard ? Même si les charognards font... du bon travail d'éboueur sur la planète ?
Je me répète en disant que les Grecs de l'Antiquité sont déjà passés par notre folie...Rien de nouveau sous le soleil. Leurs affres... sont les nôtres, maintenant.