Un jeune homme rencontre une belle dont le
métier d’audio descriptrice va bien au-delà des heures de bureau.
Comment décrire un film à des aveugles,
comment trouver les mots justes, comment ne pas envahir les têtes et laisser de
l’espace à l’imagination ?
Tant de questions passionnantes, plus
tourmentées dans ces situations extrêmes, mais au cœur des relations sociales quand
les mots cherchent la vérité, la lumière, les accords, l’amour, la poésie.
Le récit délicat d’une perte et de
retrouvailles, se dilue parfois en de trop ostensibles postures romantiques.
J’ai préféré ses « Délices de
Tokyo » plus modestes
mais continue à être enchanté par ses images
de la nature et ses cadrages serrés.
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