Une vieille dame promise à l’hospice passe
quelques jours chez ses différents enfants.
« Le dernier sourire » était à Cannes le titre de ce film et pouvait
se lire de plusieurs façons :
celui qui viendrait d’une grande sagesse en quittant la vie,
ou lorsqu’il est inextinguible, pas loin du sanglot, et vaut à la grand-mère d’être reléguée à l’étable, ou bien encore celui qui serait requis au moment d’un spectacle donné au moment de la conclusion des obsèques, nous semblant obscène vu depuis notre côté du monde.
celui qui viendrait d’une grande sagesse en quittant la vie,
ou lorsqu’il est inextinguible, pas loin du sanglot, et vaut à la grand-mère d’être reléguée à l’étable, ou bien encore celui qui serait requis au moment d’un spectacle donné au moment de la conclusion des obsèques, nous semblant obscène vu depuis notre côté du monde.
Le devenir des vieux est une préoccupation
universelle et ce voyage dans la Chine rurale contemporaine nous concerne
intimement. Parce que nous aurions pu avoir affaire à un film culpabilisant,
nous avons apprécié l’humanisme du réalisateur qui ne nous épargne pas des
moments de grande violence ponctués de quelques intervalles de tendresse et de bonne volonté. L’enfant du
pays cadre agréablement des acteurs amateurs remarquables.
Il passe encore, ce film ?
RépondreSupprimerTu sais déjà ce que je pense du dossier "violence", depuis le temps que je cause sur ton blog. De nous trouver confrontés... à nos vieux en ce moment (plutôt vieilles...), le moins qu'on puisse dire est que l'incompréhension entre les générations est la règle à tout âge de la vie, et surtout dans le sens de nos difficultés à appréhender les difficultés de la génération en amont.
Il nous faut bien du courage pour vivre, à une époque où nous rions de l'honneur, du courage, etc...
Et pourquoi pas le courage de reconnaître que nous sommes de nature des animaux violents, et il faut de la violence, des autres, et de la nôtre, pour pouvoir vivre....dignement...