Je ne boude pas mon plaisir à donner mon avis enchanté sur ce
numéro 2 :
« La calanque », qui narre des faits antérieurs au
premier chapitre de la série :
Le bonheur est là en 69, année qui allait et venait avec
Gainsbourg, l’homme sur la lune, Merckx vainqueur du Tour de France, qui ne
sont que prétextes à la célébration de la vie.
Ainsi la famille venue de Belgique débouche le champagne
pour les 100 000 km
de la 4L qui les emmène en vacances vers le midi, le midi ! Un cabanon
dans les calanques indiqué par un marseillais habitant du côté de Troyes à Cézanne
« comme aurait dit Baba, Ali de son prénom : Cézanne ouvre
Troyes »
qui a vu un matin dans son potager, la tente installée dans
la nuit par les Faldérault .
La 4 L « Esterel » a des ailles qui lui poussent, avec un papa dessinateur désinvolte de BD, un super papa inventif, dont l’humour est partagé par tous ses tendres enfants et sa femme qui attend un autre petit. Ils ne rencontrent que des douaniers complices, des hôtes charmants : que c’est bon !
La 4 L « Esterel » a des ailles qui lui poussent, avec un papa dessinateur désinvolte de BD, un super papa inventif, dont l’humour est partagé par tous ses tendres enfants et sa femme qui attend un autre petit. Ils ne rencontrent que des douaniers complices, des hôtes charmants : que c’est bon !
Pourquoi tant de gentillesse, de musique, de complicité, de
plaisirs simples, auraient-ils une connotation nostalgique ?
Lire cette BD délicieuse est bien d’aujourd’hui !
Ouhhh. Là, tu me fais très envie ; c'est très bien dessiné, et j'ai juste fait connaissance avec les calanques...
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