j’ai hésité, mais c’est toujours
pareil : il suffit d’une recommandation pour partir dans l’autre sens. On
a les rebellitudes qu’on peut.
Après avoir feuilleté les 144 pages de la version jeunesse de l'équipe de "La revue dessinée", http://blog-de-guy.blogspot.fr/2016/10/la-revue-dessinee-automne-2016.html
il me semblait
intéressant de mieux connaître qui sont les « youtubers » :
je ne savais rien de ce John
Rachid aperçu face à Juppé ni de ce qui causait une telle queue à la
FNAC pour une personne dont j’ignorais parfaitement l’existence. Le phénomène traité ici sous le titre «
Youtube : une usine à clics fric » est intrigant.
C’est simple, clair, instructif
comme le mécanisme qui a empêché Obama d’interdire les armes
ou ce qui fit la gloire des Sex Pistols.
L’exploration du paysage à l’arrière de la Joconde
nous en apprend de belles
et le relevé des stéréotypes dans les jeux vidéos enjeu politique est tout à fait pédagogique
comme « L’apocalypse
selon Hollywood » revenant sur « Independance Day » ,
« la guerre des mondes » » ET » « Star wars »…
Dans ce monde compliqué,
il n’est pas inutile de se rappeler de la chute du mur de Berlin,
ou suivre un enfant arrivé au Havre après avoir quitté la Syrie,
savoir qui est Tyrion Lanister (« Games of trhones ») sans spoil,
ou sourire avec l’histoire du poil avec Valérie Danidot guide en pays de pleine puberté :
« Bon ! Je
ne vous cacherai pas : on part sur un très gros chantier ».
Les séquences sont courtes, efficaces,
drôles avec Nine Antico traitant du premier baiser, ou Lisa Mandel : « Dream teen »
poétique avec « Le
meilleur des mondes possibles » qui démarre après l’attentat au
Bataclan.
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