lundi 8 février 2016

No land’s song. Ayat Najafi.

Une jeune iranienne compositrice à l’énergie  communicative essaye d’organiser un concert international avec Jeanne Cherhal entre autres, où des femmes chanteraient pour un public mixte.
Mais ce n’est pas normal aux yeux des décideurs mâles qui ne regardent pas leur interlocutrice en face. Des femmes fortes, intelligentes qui au-delà de l’irrévérence à chanter en solo en reviennent aux fondamentaux de la liberté, de la dignité.
Quand tant de volonté, d’opiniâtreté sont dépensées pour des motifs qui semblent dérisoires, ces petites victoires paraissent grandioses.
Film utile où la production permet l’avancement de projets, comme avec « Benda Bilili », la troupe d’handicapés passés des rues de Kinshasa à une tournée européenne,

1 commentaire:

  1. Je sais que j'ai des idées fixes, Guy, mais...
    parmi les gros mensonges qui courent sur la "libération" des femmes, il y a cette idée que ce sont principalement, sinon exclusivement les hommes qui oppriment les femmes.
    Il n'en est pourtant rien, et un peu d'observation avisée permet de constater à quel point... les femmes participent activement à leur propre... "servitude volontaire" SI ON VEUT VOIR LE MONDE AINSI.
    Personnellement, je n'ai plus envie de voir le monde ainsi.
    J'ai décidé que ce dossier doit être bien plus compliqué que ce que la propagande voudrait nous faire croire à l'heure actuelle.
    A bon entendeur, salut...

    RépondreSupprimer