Le propriétaire du gîte « La Marcigliana »
labélisé « agritourismo » au bout d’un chemin de terre en face du village
perché de Radicondoli pour le panorama et pas loin de Colle di Val d’Elsa pour
les supermarchés, nous a vraiment bien accueilli.
Tomates et basilic du jardin, fromage de ses brebis, le
jeune Sarde par ailleurs chanteur, nous a donné une belle image d’une Italie
dynamique et chaleureuse.
Nous avions le sentiment en revenant de nos tours à
Florence, Sienne, San Giminiano, dans le
Chianti, ou dans le val d’Orcia, de la Maremme ou de Carrare, d’être au centre d’un lieu
préservé du monde et de ses grossièretés, mêlant culture, cultures et piscine, en
pleine jouissance de nos privilèges européens.
Les mercredis, remontant le cours de notre séjour, je vais
essayer de mieux saisir ce qui a constitué
les rivalités de ces villes pourtant bien préservées.
Je vais rechercher sans trop
abuser des collages Wikipédia, ni trop forcer sur la cuistrerie ce qu’ont
apporté les Etrusques, ce que furent Gibelins et Guelfes, et cette route
« La via Francigena» qui
traverse cette région aux collines saisissantes de beauté dont je me suis
appliqué à copier les cartes postales tendant à se raréfier sous les
perches à selfie.
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