Cinq jeunes sœurs se laissent aller à la joie des vacances.
Elles ne retourneront pas à l’école, la grand-mère qui les garde finit par
subir et imposer la loi de l’Islam, réglant la vie de toutes les filles jusqu’à
l’intérieur d’une maison autour de laquelle seront érigées des barrières de
plus en plus hautes pour les empêcher de s’évader.
Mariages forcés et vêtements aux couleurs « de merde » : l’une d’entre elles se suicide, les deux plus jeunes finissent par s’échapper vers Istanbul.
Une énergie, une fraicheur face au conformisme des plus glauques donnent des motifs d’espérer même sous les éteignoirs des plus rétrogrades.
Des scènes excellentes : la tante dégomme un transformateur, la petite casse une chaise parce qu’ « elle a touché son trou du cul » et plongeon sur un matelas alors que la mer leur est retirée. Quand elles vont dans un stade où les femmes sont les seules autorisées à suivre un match, l’épisode est véridique et délicieux.
Ce film est essentiel, poétique et fort quand l’obsession de réprimer le sexe exacerbe les tensions les plus brutales. Cette maison devenue une prison va leur permettre de fuir.
Mariages forcés et vêtements aux couleurs « de merde » : l’une d’entre elles se suicide, les deux plus jeunes finissent par s’échapper vers Istanbul.
Une énergie, une fraicheur face au conformisme des plus glauques donnent des motifs d’espérer même sous les éteignoirs des plus rétrogrades.
Des scènes excellentes : la tante dégomme un transformateur, la petite casse une chaise parce qu’ « elle a touché son trou du cul » et plongeon sur un matelas alors que la mer leur est retirée. Quand elles vont dans un stade où les femmes sont les seules autorisées à suivre un match, l’épisode est véridique et délicieux.
Ce film est essentiel, poétique et fort quand l’obsession de réprimer le sexe exacerbe les tensions les plus brutales. Cette maison devenue une prison va leur permettre de fuir.
Dans Slate j’ai lu : « Au cours de l'année 2014, 294 femmes turques ont été
tuées. »
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