« une vraie merde qui en vend des fausses en plastique».
Le trait alangui et les couleurs ternes sous un voile de
tristesse installent une atmosphère morose mais pas trop quand même. Les
personnages sont aimables et cette opposition qui aurait pu être facile d’une
solitude nourrie aux raviolis et abreuvée de vin estampillé mauvais dans un décor de fausse jovialité n’est pas
exagéré.
La tendre histoire d’amour avec une acrobate qui justement
n’a pas à se travestir lors d’une soirée déguisée aurait pu être
conventionnelle mais elle est nécessaire et naturelle.
Un auteur original sans tapages, qui sait nous faire
partager ses sympathies.
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