Cette fois les deux gaulois, dont on n’apprend plus rien en
dehors de la susceptibilité du gros, raccompagnent Mac Ollock en Ecosse où il
doit retrouver sa belle Camomilla.
« - Ma fragile,
ma transparente, ma légère, ma gracile, ma subtile, mon infime, ma ténue, mon
aérienne, mon éthérée, ma frêle, ma fluette, ma menue, ma translucide »
- Il reparle »
L’irréductible village breton en hiver est sympathique et les
femmes séduites par l’habitant de la Calédonie, un beau glaçon, amusantes, mais la
séquence en terres humides manque de fraîcheur. Il y a bien un monstre du Loch
Andloll, des lancers de troncs, des pictogrammes, des tissus à carreaux, des
boissons au malt, et opportunément l’oubli d’une certaine radinerie, peu de
surprises, de clins d’œil qui mettaient un peu de sel dans les grands premiers
albums où grands et petits se régalaient.
Cette fois il s’agit
d’un surgelé pour menu enfant avec tous les ingrédients demandés dans la
recette, mais sans personnalité : ces
pictes manquent de piquant.
Bien d'accord avec toi: un album qui manque cruellement de folie.
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