Le trait de pinceau est toujours aussi élégant et les
touches de rouge à la craie, d’où ressort la trame du papier, raffinées.
Cependant je n’ai pas pris le même plaisir que pour son
album « Cinq mille kilomètres par seconde » aux aquarelles plus chaleureuses.
Dans celui-ci nous sommes au pays des mythes : Icare et
Faust- rien que ceux là- finissent par se rencontrer au-delà du temps et de
l’espace.
Arides, dépouillées, les pages sont agréables à feuilleter.
Les dialogues sont laconiques alors je me suis raccroché à ce que je savais mais n’ai pas saisi l’apport de cette relecture de l’utopie solaire sortant du labyrinthe, ni celle du diabolique à consoler.
Les dialogues sont laconiques alors je me suis raccroché à ce que je savais mais n’ai pas saisi l’apport de cette relecture de l’utopie solaire sortant du labyrinthe, ni celle du diabolique à consoler.
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