Ou bien « on est arrivés, il fait beau et les gens sont sympas ».
Sur le thème des vacances, l’auteure membre éminent de la confrérie des gros nez, repasse par les cases colo, chez pépé mémé à la campagne, la villa avec une bande de chouettes copains, la montagne, les ados, les voisins envahissants au camping, et la meilleure amie au Club…
Bien des situations pourraient figurer dans quelque navet à succès mais Franck Dubosc n’est pas là, les gags ne s’étirent pas, ils durent le temps d’une bulle et passent à un autre régressif, donc délicieux.
Anne Charlotte, Marie Sophie, Charles Henri, Jean Guillaume, Marie Hortense, Jean Bernard, Jean Etienne, Louis Gérard prennent leur mois de juillet sur l’île de Ré.
Il y a des personnages odieux - puisqu’ils - payent, des « pigeons » aux Canaries mais aussi de la tendresse dans le rappel des souvenirs d’enfance sur l’île aux oiseaux quand l’oncle Henry raconte ses souvenirs.
Les trouvailles sur la plage proviendraient alors du Titanic, du Nautilus ou de Barbe Rouge.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire