 A New York Jean Paul Martineau pose son regard,  loin des nappes à carreaux du bistrot où monsieur Lambert  le parisien avait ses habitudes : dans Manhattan,  on mange sur ses genoux ou alors on se fait livrer des repas chinois à domicile. Et pourtant sur la couverture c’est un  french cuistot avec sa toque et son petit vélo, le panier de légumes sur le porte-bagages qui est le seul vivant au milieu des gratte-ciels plongés encore dans la nuit.  Les chapitres mettent en scène des précieux ridicules  du côté de central Park « il existe encore des femmes comme ça ! », la convivialité artificielle à coup de « keep in touch » (Garder le contact), ou l’esprit positif  surjoué des américains fussent-ils bobos
A New York Jean Paul Martineau pose son regard,  loin des nappes à carreaux du bistrot où monsieur Lambert  le parisien avait ses habitudes : dans Manhattan,  on mange sur ses genoux ou alors on se fait livrer des repas chinois à domicile. Et pourtant sur la couverture c’est un  french cuistot avec sa toque et son petit vélo, le panier de légumes sur le porte-bagages qui est le seul vivant au milieu des gratte-ciels plongés encore dans la nuit.  Les chapitres mettent en scène des précieux ridicules  du côté de central Park « il existe encore des femmes comme ça ! », la convivialité artificielle à coup de « keep in touch » (Garder le contact), ou l’esprit positif  surjoué des américains fussent-ils bobos« C’est dans la poche ! »
Sempé garde son vélo pour saisir cette humanité qu’il regarde toujours avec tendresse.
Aussi pertinent au pied des buildings qu’au bord des murettes des pavillons de banlieue.
 
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