 Dans cette œuvre de Lee Daniels,  à voir, il faut s’accrocher, tant ce film est noir. Dans les années 80, à New York, un  des phares de l’humanité, le fond de l’inhumanité : une jeune fille  encore enceinte de son père - son premier enfant s’appelle Mongo, puisqu’il est mongolien - va dans un collège alternatif pour apprendre à lire. Sa vie n’est qu’une suite d’horreurs. Elle  la subit sous une très grosse couche de graisse avec une mère tellement odieuse. Ken Loach à côté c’est de la bluette rigolarde.  Et c’est encore l’éducation qui  va entretenir la possibilité d’un espoir.  Celle qui s’appelle Precious  rêve parfois, on la suit  volontiers dans ses fantasmes de pacotille pour  qu’elle détourne les yeux de toute cette merde. Quelque soit l’interprétation que l’on apporte à la fin, on sait qu’aux bouches de l’enfer, cette fille est précieuse avec ses petits.
Dans cette œuvre de Lee Daniels,  à voir, il faut s’accrocher, tant ce film est noir. Dans les années 80, à New York, un  des phares de l’humanité, le fond de l’inhumanité : une jeune fille  encore enceinte de son père - son premier enfant s’appelle Mongo, puisqu’il est mongolien - va dans un collège alternatif pour apprendre à lire. Sa vie n’est qu’une suite d’horreurs. Elle  la subit sous une très grosse couche de graisse avec une mère tellement odieuse. Ken Loach à côté c’est de la bluette rigolarde.  Et c’est encore l’éducation qui  va entretenir la possibilité d’un espoir.  Celle qui s’appelle Precious  rêve parfois, on la suit  volontiers dans ses fantasmes de pacotille pour  qu’elle détourne les yeux de toute cette merde. Quelque soit l’interprétation que l’on apporte à la fin, on sait qu’aux bouches de l’enfer, cette fille est précieuse avec ses petits.
lundi 5 avril 2010
Precious
 Dans cette œuvre de Lee Daniels,  à voir, il faut s’accrocher, tant ce film est noir. Dans les années 80, à New York, un  des phares de l’humanité, le fond de l’inhumanité : une jeune fille  encore enceinte de son père - son premier enfant s’appelle Mongo, puisqu’il est mongolien - va dans un collège alternatif pour apprendre à lire. Sa vie n’est qu’une suite d’horreurs. Elle  la subit sous une très grosse couche de graisse avec une mère tellement odieuse. Ken Loach à côté c’est de la bluette rigolarde.  Et c’est encore l’éducation qui  va entretenir la possibilité d’un espoir.  Celle qui s’appelle Precious  rêve parfois, on la suit  volontiers dans ses fantasmes de pacotille pour  qu’elle détourne les yeux de toute cette merde. Quelque soit l’interprétation que l’on apporte à la fin, on sait qu’aux bouches de l’enfer, cette fille est précieuse avec ses petits.
Dans cette œuvre de Lee Daniels,  à voir, il faut s’accrocher, tant ce film est noir. Dans les années 80, à New York, un  des phares de l’humanité, le fond de l’inhumanité : une jeune fille  encore enceinte de son père - son premier enfant s’appelle Mongo, puisqu’il est mongolien - va dans un collège alternatif pour apprendre à lire. Sa vie n’est qu’une suite d’horreurs. Elle  la subit sous une très grosse couche de graisse avec une mère tellement odieuse. Ken Loach à côté c’est de la bluette rigolarde.  Et c’est encore l’éducation qui  va entretenir la possibilité d’un espoir.  Celle qui s’appelle Precious  rêve parfois, on la suit  volontiers dans ses fantasmes de pacotille pour  qu’elle détourne les yeux de toute cette merde. Quelque soit l’interprétation que l’on apporte à la fin, on sait qu’aux bouches de l’enfer, cette fille est précieuse avec ses petits.
 
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