 Je n’ai pas encore lu le livre de Pierre Michon, mais j’en ai bien l’intention après la lecture par l’auteur lui-même de quelques extraits à la librairie du Square. Son  projet d’écriture remonte à 92(1992) où après les fastes de 89, le bicentenaire ne suscita  plus aucune fièvre éditoriale. L’auteur des « Vies minuscules » s’attaque à des vies en majesté, avec un tableau qu’il invente  de François-Elie Corentin, représentant le comité de salut public de la terreur qui officia alors. Une maturation longue, aujourd’hui en librairie,  et c’est la fête du style, du rythme,  de la fiction plus vraie que la réalité, avec les vies  des Limousins et de ceux  qui auraient mérité passer à la postérité  mais dont le sang  leur monte à la tête, rejouant les passions antiques et leurs crimes passionnels. Billaud, Carnot, Prieur, Prieur, Couthon, Robespierre, Collot, Barère, Lindet, Saint-Just, Saint-André.
Je n’ai pas encore lu le livre de Pierre Michon, mais j’en ai bien l’intention après la lecture par l’auteur lui-même de quelques extraits à la librairie du Square. Son  projet d’écriture remonte à 92(1992) où après les fastes de 89, le bicentenaire ne suscita  plus aucune fièvre éditoriale. L’auteur des « Vies minuscules » s’attaque à des vies en majesté, avec un tableau qu’il invente  de François-Elie Corentin, représentant le comité de salut public de la terreur qui officia alors. Une maturation longue, aujourd’hui en librairie,  et c’est la fête du style, du rythme,  de la fiction plus vraie que la réalité, avec les vies  des Limousins et de ceux  qui auraient mérité passer à la postérité  mais dont le sang  leur monte à la tête, rejouant les passions antiques et leurs crimes passionnels. Billaud, Carnot, Prieur, Prieur, Couthon, Robespierre, Collot, Barère, Lindet, Saint-Just, Saint-André.
vendredi 3 juillet 2009
Les onze
 Je n’ai pas encore lu le livre de Pierre Michon, mais j’en ai bien l’intention après la lecture par l’auteur lui-même de quelques extraits à la librairie du Square. Son  projet d’écriture remonte à 92(1992) où après les fastes de 89, le bicentenaire ne suscita  plus aucune fièvre éditoriale. L’auteur des « Vies minuscules » s’attaque à des vies en majesté, avec un tableau qu’il invente  de François-Elie Corentin, représentant le comité de salut public de la terreur qui officia alors. Une maturation longue, aujourd’hui en librairie,  et c’est la fête du style, du rythme,  de la fiction plus vraie que la réalité, avec les vies  des Limousins et de ceux  qui auraient mérité passer à la postérité  mais dont le sang  leur monte à la tête, rejouant les passions antiques et leurs crimes passionnels. Billaud, Carnot, Prieur, Prieur, Couthon, Robespierre, Collot, Barère, Lindet, Saint-Just, Saint-André.
Je n’ai pas encore lu le livre de Pierre Michon, mais j’en ai bien l’intention après la lecture par l’auteur lui-même de quelques extraits à la librairie du Square. Son  projet d’écriture remonte à 92(1992) où après les fastes de 89, le bicentenaire ne suscita  plus aucune fièvre éditoriale. L’auteur des « Vies minuscules » s’attaque à des vies en majesté, avec un tableau qu’il invente  de François-Elie Corentin, représentant le comité de salut public de la terreur qui officia alors. Une maturation longue, aujourd’hui en librairie,  et c’est la fête du style, du rythme,  de la fiction plus vraie que la réalité, avec les vies  des Limousins et de ceux  qui auraient mérité passer à la postérité  mais dont le sang  leur monte à la tête, rejouant les passions antiques et leurs crimes passionnels. Billaud, Carnot, Prieur, Prieur, Couthon, Robespierre, Collot, Barère, Lindet, Saint-Just, Saint-André.
 
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