L’enjeu du sujet traité : l’isolement
résidentiel sécuritaire, est plus important que la manière cinématographique. Les compliments de la critique ont été abondants ; même si quelques minutes à la fin
m’ont semblé laborieuses, l’histoire est traitée d’une façon plus complexe qu’on
ne pouvait le craindre. Les murs délimitent des zones de plus en plus restreintes à l’intérieur de frontières bien gardées déjà. Ils ne protègent pas contre la déshumanisation : ceux qui prétendent défendre leur territoire contre les sauvages deviennent des sauvages qui ne veulent pas voir, pas savoir, ils tuent.
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