lundi 30 septembre 2019

Once upon a time in Hollywood. Quentin Tarentino.

Me voilà partagé entre le plaisir du cinéma, les délices de la nostalgie et l'envie d'apporter la contradiction à une unanimité critique - en dehors de l’Huma et du Masque - que je trouve disproportionnée.
Dans le genre hommage à Hollywood, Lala land était bien plus charmant et les acteurs tout aussi convaincants que Pitt et Di Caprio qui tiennent ce patchwork de citations pour cinéphiles pendant 2h 40.
Les néons, les voitures, les cigarettes, les minettes, les musiques: la fin des années soixante a été délicieuse. On sent poindre la fin de l’innocence, voire l’horreur, qu’une astuce de scénario et la réussite de l’outrance pour déjouer la violence vont amoindrir.
A voir, ne serait ce que pour aiguiser son esprit critique.

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