dimanche 20 janvier 2019

Comme un trio. Jean Claude Gallotta.

Pour les amis avec lesquels je partage des émotions au théâtre et en danse, j’ai joué pendant longtemps le rôle du fidèle au chorégraphe des Alpes, alors que eux s’étaient lassés ; eh bien cette fois, au-delà de l’esprit de contradiction que je chéris, ils ont mieux aimé ce spectacle que moi.
Bien que le format à trois dans la petite salle de la MC 2 et un plateau nu avaient pu se prêter parfaitement  à Camus, http://blog-de-guy.blogspot.com/2015/09/letranger-jean-claude-gallotta.html je n’ai pas retrouvé la désinvolture, la légèreté de Sagan et encore moins la mécanique de «  Bonjour tristesse » prétexte à cette heure de danse en manque de fluidité, semblant se chercher malgré les caractères forts d’une brune et d’une blonde qui expriment davantage la douleur que l’insouciance ou les émois de la jeunesse.   

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