lundi 26 juin 2017

Paris pieds nus. Abel et Gordon.

Alors que nous avions tellement ri à Avignon dans leur « Danse des poules » au théâtre, j’avais déjà été refroidi par leur passage au cinéma.
J’ai confirmé ma déception avec cette histoire de retrouvailles entre une nièce et sa tante dans un Paris de carte postale.
Les moments de danse sont les seules séquences qui nous sortent de l’indifférence.
Pendant une heure vingt, une dégingandée ahurie trimballe un sac encombrant sur son dos, sa maladresse en est tellement décuplée que c’est le film qui devient balourd.
La répétition est une des bases du comique mais ne s’applique ni aux rires ni aux sourires face à cette fade production sans colonne vertébrale où la poésie et le burlesque attendus sont absents.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire