samedi 15 avril 2017

6 mois. Printemps /été 2017.

En tapant «  6 mois » dans le petit moteur de recherche qui va farfouiller dans les archives de ce blog, colonne de droite, vous pourrez partager le plaisir de replonger dans une belle bibliothèque de photographies fréquentée depuis un moment.
« Si vous vous contentez de voir ce qui est évident, vous ne verrez rien. » Ruth Bernhard.
Le dossier principal de cette livraison est consacré aux animaux dans leur rapport aux hommes :
du business de la fourrure, caïmans en Colombie et visons en Pologne,
à une pouponnière de pandas en Chine,
en passant par les gorilles en péril au Congo à cause des trafics de charbon de bois et les guérillas.
Nous allons dans les tribus éthiopiennes à côté d’un barrage qui va modifier leurs conditions de vie,
en Cisjordanie avec des femmes palestiniennes fécondées in-vitro par leurs maris prisonniers,
en Tanzanie avec des albinos qui se mettent à l’abri du soleil et des préjugés.  
Ce sont aussi les migrants érythréens qui s’invitent chez nous sous l’objectif d’un des leurs.
En Russie le long de la Volga de jeunes urbains retournent à la campagne.
De beaux portraits de ceux qui travaillent les produits de la pêche, à terre, au Guilvinec et d’amusants témoignages de la vie d’un papa quand il reçoit à son tour ses enfants, éclairent l’atmosphère plus sombre des photographies retrouvées de Berlin en avril 1945.
La photobiographie de Recep Tayyip Erdogan est intéressante à parcourir pour mieux connaître cet acteur majeur qui avait été condamné à 4 mois de prison pour avoir récité un poème :
«  les mosquées sont nos casernes,
les minarets nos baïonnettes,
les dômes nos casques
et les croyants nos soldats »  

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