jeudi 26 mars 2015

Le mois du graphisme d’Echirolles 2015.

Legendre que je vois chaque samedi dans Libé, au musée Géo Charles, est en majesté avec son trait ondulé, très gravure sur bois, beau mais tellement graphique qu’il en est refroidi.
Aux Moulins de Villancourt, les intitulés ont beau titrer « arrache toi un œil », les graphistes du « print » ou du « digital » dans le « packaging », m’ont semblé participer à une ronde aux couleurs attendues, s’éteignant les unes les autres.
Au Musée de la Viscose, des affiches sont posées au sein de l’exposition permanente, reprenant les icones de Grapus, mais ne gagnant guère en lisibilité à se superposer sur les portraits des ouvrières et leur machines noires désormais sous verre.
A La Rampe, des travaux d’étudiants présentent des villes mais pour certains le stéréotype submerge la poésie, la virtuosité ou l’efficacité d’un trait. Quand Toulouse est noyée sous le Cassoulet, Nice s’en tire mieux.

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