mardi 23 octobre 2012

Storeyville. Frank Santoro.



Quinze cases par page au format d’un journal américain sur 40 pages forment un album hors norme dans sa version cartonnée (28 x 40 cm).
Pendant les années 30, Will un jeune vagabond, circule clandestinement dans des trains de Pittsburgh à Montréal à la recherche de son père « spirituel ». Le découpage est intéressant et convient bien  pour décrire l’errance. Les paysages sont bien dessinés mais le crayonnage à l’état d’ébauche ne m’a pas convaincu quand il s’agit de traiter les personnages.
Et le ton dithyrambique de la préface n’a fait qu’accroitre ma déception en regard d’une complaisance qui se rencontre assez souvent dans les chapelles de la BD.
« Malgré sa diffusion réduite, ce travail n’en est pas moins considéré comme majeur par de nombreux auteurs et spécialistes de bande dessinée. »
Moi, je n’ai pas vu tout ça. Une histoire d’initiation, nonchalante, où le dessin à son premier jet peut traduire une certaine énergie mais aussi une posture arty qui éloigne l’attention.

1 commentaire:

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