mardi 5 juin 2012

Nyarlathotep. Rotomago Julien Noirel.


Séduit par le graphisme et persistant à essayer de lire du Lovecraft, j’ai emprunté cette belle bande dessinée. Mais décidément je suis imperméable au fantastique bien qu’une ville crépusculaire où la chaleur devient étouffante puisse nous évoquer des préoccupations bien réelles :
 « Et chacun sentit que la terre et peut être même l’univers tout entier, avaient échappé au contrôle des dieux ou des forces qui régnaient jusqu’ici pour tomber sous l’emprise des dieux ou de forces parfaitement inconnus »
Déjà qu’avec un dieu, j’ai du mal, alors si une flopée s’en mêle, je tourne vite les pages.
Il est question d’un cauchemar qui donne naissance à une nouvelle où un conférencier qui a tout d’un prophète annonce évidemment un cataclysme.
« Les foules affluaient à ses côtés, n'attendant que ses ordres, 
 Mais le quittant, ne pouvaient plus dire ce qu'elles avaient entendu ; 
Cependant parmi les nations se répandait la nouvelle stupéfiante 
Que les bêtes sauvages le suivaient et lui léchaient les mains. » 
Je n’ai pas suivi.

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