mardi 1 novembre 2011

Cinq Mille kilomètres par seconde. Manuele Fior.

Une belle liasse d’aquarelles dont la manière convient bien à l’histoire ces adolescents prolongés qui nous conduisent d’Italie en Norvège, en Egypte. Petites notations où le décor ne submerge pas un scénario indolent et subtil. La mélancolie accompagne des destins fragiles, tremblants, qui se sont laissé aller au fil du temps, se consolant au téléphone portable. Une vision contemporaine des trentenaires. Fauve d’or à Angoulême; c’est toujours délicieux, quand le thème éternel de l’amour est traité d’une façon nouvelle.

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