lundi 8 décembre 2008

Two lovers


Dans le film de James Gray avec Joaquin Phoenix, qu’est ce qu’elles lui trouvent, ces deux belles femmes la blonde et la brune à cet adolescent attardé ? Certes, il montre une énergie exceptionnelle sur le dance flor, mais le fils à la maman bien compréhensive porte en lui tellement de mystère, de tristesse. C’est m’a-t-on dit parce que les femmes aiment bien consoler, réparer ; là il y a du boulot. Pas plus que je n’ai compris le succès critique, je n’ai été concerné par le dilemme amoureux secouant une indolence plombante par quelque impulsivité à connotation suicidaire.

1 commentaire:

  1. Je ne crois pas qu'il y ait un vrai dilemme amoureux. Le type est vaguement à la dérive, totalement immature, et d'accord avec le dernier événement qui se produit.
    J'ai beaucoup aimé, même si rien chez James Gray ne me semble plus pouvoir atteindre le choc de son "Little Odessa".
    La blonde m'a un peu agacé. La brune a le charme silencieux des épouses soumises et néanmoins castratrices. C'est elle que j'aurais choisi. Lui aussi d'ailleurs, même si ça semble par défaut.
    Et l'ensemble est extrêmement bien joué.
    Supérieur m'a-t-il semblé au Woody Allen (Vicky-Cristina-Barcelona)

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